A Koh tao on était bien, tellement bien qu'on est arrivés à la frontière Thaïlande/Malaisie avec deux jours de retard sur mon visa de tourisme.
Après une demi heure d'attente du respo amende visa qui était parti dîner (à 17h), nous avons cherché le dernier bus qui partait de la journée vers Kota Baru (celui de 18h). C'était sans compter le vicieux petit décalage horaire de la frontière ! On a bien sur longuement hésité à faire les 20 km qui nous séparaient de Kota Baru à pied avec nos sacs de 15 kg sur l'autoroute, et finalement on a pris un taxi.
la Malaisie est un pays très musulman, j'ai donc dû revêtir mon pantalon Quechua bien long et bien épais, et Pierre a fait de même avec son jean par solidarité. Il fait 35 degrés, moi je ne l'aurais pas fait eheh.
A Kapas Island, la plage est déserte, l'eau est turquoise, les cocotiers féconds, et les auberges très roots bohème branchées.
Nous avons tenté le camping mais franchement les auberges étaient trop tentantes.
On retiendra de cette île : les pancakes à la banane devant la jetty, les cocktails du Long House, la noix de coco fraichement épluchée par Pierre (amusement typiquement masculin qui demande au moins 25 mn d'efforts) (oui, c'est bon, ça va, j'en ai aussi profité !).
Au lac Chini par contre, c'est moins funky !
Déjà quand on arrive on voit pas le lac tout de suite, alors on ne comprend pas. Et puis c'est quand on veut aller aux toilettes pendant la nuit qu'on réalise que l'auberge est vraiment dans la jungle, et que résonnent dans la pénombre plein de bruits flippants.
Heureusement on a passé une super soirée avec 2 hollandais très sympas qui avaient aussi échoué ici. Des tiger beers, des fizz qui pétillent dans la bouche, un jeu de dé, et c'est parti pour la veillée :)
Le lendemain, le papi qui tient la guest house aurait bien voulu nous emmener faire un tour dans la jungle, mais il a quelques orteils en moins (fraichement découpés), il nous propose donc de faire un tour avec les jeunes du village. Nous on espère juste que ce n'est pas un animal de la jungle qui lui a bouffé les doigts de pied.
Finalement on n'a pas pris beaucoup de risques puisqu'on s'est surtout baladés dans les palmeraies. La Malaisie et l'Indonésie sont les premiers producteurs au monde d'huile de palme et ils sont en train de défricher méthodiquement la plus ancienne jungle du monde pour ne pas ralentir le rythme.
Après une demi heure d'attente du respo amende visa qui était parti dîner (à 17h), nous avons cherché le dernier bus qui partait de la journée vers Kota Baru (celui de 18h). C'était sans compter le vicieux petit décalage horaire de la frontière ! On a bien sur longuement hésité à faire les 20 km qui nous séparaient de Kota Baru à pied avec nos sacs de 15 kg sur l'autoroute, et finalement on a pris un taxi.
la Malaisie est un pays très musulman, j'ai donc dû revêtir mon pantalon Quechua bien long et bien épais, et Pierre a fait de même avec son jean par solidarité. Il fait 35 degrés, moi je ne l'aurais pas fait eheh.
A Kapas Island, la plage est déserte, l'eau est turquoise, les cocotiers féconds, et les auberges très roots bohème branchées.
Nous avons tenté le camping mais franchement les auberges étaient trop tentantes.
On retiendra de cette île : les pancakes à la banane devant la jetty, les cocktails du Long House, la noix de coco fraichement épluchée par Pierre (amusement typiquement masculin qui demande au moins 25 mn d'efforts) (oui, c'est bon, ça va, j'en ai aussi profité !).
Para-Para-Paradize |
Au lac Chini par contre, c'est moins funky !
Déjà quand on arrive on voit pas le lac tout de suite, alors on ne comprend pas. Et puis c'est quand on veut aller aux toilettes pendant la nuit qu'on réalise que l'auberge est vraiment dans la jungle, et que résonnent dans la pénombre plein de bruits flippants.
Heureusement on a passé une super soirée avec 2 hollandais très sympas qui avaient aussi échoué ici. Des tiger beers, des fizz qui pétillent dans la bouche, un jeu de dé, et c'est parti pour la veillée :)
Il vaut mieux ne pas mettre les pieds dans les marécages sinon gare aux sangsues hein Pierre |
Le lendemain, le papi qui tient la guest house aurait bien voulu nous emmener faire un tour dans la jungle, mais il a quelques orteils en moins (fraichement découpés), il nous propose donc de faire un tour avec les jeunes du village. Nous on espère juste que ce n'est pas un animal de la jungle qui lui a bouffé les doigts de pied.
Finalement on n'a pas pris beaucoup de risques puisqu'on s'est surtout baladés dans les palmeraies. La Malaisie et l'Indonésie sont les premiers producteurs au monde d'huile de palme et ils sont en train de défricher méthodiquement la plus ancienne jungle du monde pour ne pas ralentir le rythme.
La pêche dans la jungle la plus vieille du monde en Malaisie |
Le lac Chini terrain de jeu des gosses du coin |
Monsieur tape la pose |
Dernière étape : Malacca !
Pour la petite histoire, Malacca est une ville qui a été colonisée par les hollandais, les portugais et qui a connu une très forte immigration chinoise il y a 200 ans. Il en résulte une ville aux bâtiments aux influences diverses, dont une mosquée dont le minaret a vraiment une tronche de clocher portugais, des rues bordées de shophouses chinoises, des édifices coloniaux portugais et quelques palais malais !
On y mange baba nyona. Baba est le nom des métissés chinois hommes, et nyona des femmes.
la mosquée de Malacca avec son minaret aux influences portugaises |
A Malacca il y a plein de petits chinois |
On peut aussi goûter à quelques spécialités portugaises au Portugesh settlement qu'on a vainement cherché pendant une soirée à vélo, bref n'en parlons plus.
Pour se consoler nous avons goûté à l'ABC, un dessert fort intéressant à base de red beans, glace pillée, noix de coco, petits bouts de gélatine verts et roses.
Notre petite chambre était bien mignonne, perchée en haut de très vertigineux escaliers en bois d'une ancienne shophouse. Au petit matin pour aller aux toilettes c'était challenging.
Et dans notre rue, outre un magnifique temple chinois, un temple hindou, un temple bouddhiste et une mosquée, il serait impoli de ne pas faire une révérence au fort accueillant Géographer, le café resto musique live de Malacca qui dégage de bonnes ondes !
le petit déjeuner léger et diététique à base de toasts beurre de cacahuète banane |
Next stop : Singapour et les retrouvailles avec la Mélanie !
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